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Posts Tagged ‘saints patrons en enluminure’

août
29

Il y a un petit moment que je n’ai pas posté d’article, le temps passe tellement vite !!!

Je ne peux pas vous montrer toutes les réalisations car les sujets se répèteraient et perdraient de leur intérêt, voici en images les travaux de cette semaine sur les saints patrons :

Collection Filigranes :

Saint Michel, 2ème version.


Sainte Alice ou Adélaïde, impératrice.


Collection Médaillon :

Sainte Clémence sur parchemin, or à la coquille 23,7 carats.

Ces créations sont réalisables sur commande pour les naissances, baptêmes, communions, etc…

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mai
12

Quelques exemples de saints patrons èxécutés ces derniers mois  :

Enluminures sur papier, pigments broyés et liés à une détrempe, or minéral.

SAINT MICHEL

SAINTE AGATHE

SAINT GASPARD

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jan
16

Voici un exemple de réalisation de faire-part calligraphié et enluminé :



Format 10,5/15cm.

Frise calligraphiée, lettres filigranées et saints patrons,

ces différents éléments ont été réalisé en dégradés de vermillon et de terre de Sienne brûlée.


Sainte Marie Madeleine.

Saint Hélier, moine ayant évangélisé Jersey.

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juil
01

Voici une enluminure sur le thème de saint Jacques le Majeur que j’avais envie de réaliser depuis très longtemps. Elle comprend surtout la partition grégorienne calligraphiée de l’Ultreïa, chant des pèlerins de Compostelle :

Ultreïa, ultreïa, et suseïa, Déus adjuva nos,

Allons plus loin, plus haut, que Dieu nous vienne en aide.

Le fond rouge me permet de faire ressortir mon saint Jacques, idée qui m’est venue en feuilletant les heures du maréchal de Boucicaut où saint Jacques est représenté sur un fond rouge armorié. Les décors du fond s’alternent entre les étoiles -Compostelle, autrement dit campo stella : champ des étoiles- et les coquilles du pèlerin, c’est-à-dire deux symboles forts du pèlerinage tout au long des siècles.

Saint Jacques porte ses attributs : le livre, le chapeau, la coquille et le bâton (ou bourdon au sommet duquel on trouve la gourde fabriquée avec une calebasse).

Sur la frise j’ai dessiné des pèlerins-musiciens qui donnent de la vie à l’ensemble : joueurs de vielle et de flûte.

Enfin, on retrouve sur la partie basse le texte d’un latin tardif, proche de la langue d’Oc, et une traduction possible en français. Ce texte est tiré de la 4ème strophe de l’Alleluïa du Codex Calixtinus (vers 1140). La lettrine est ornée de la cathédrale de Compostelle, ultime étape du pèlerin qui marche sur la partie gauche et qui s’apprête à franchir la lettre en touchant au but.

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